-Qu'est ce que tu veux que je te dise... Malheureusement. Je pense à toi.

Tout comme je l'ai décidé. Je m'en vais d'ici. Mais je laisse mes mots. Ceux que je t'ai dédié. Ce blog est la réincarnation de ma descente en enfer. De la connaissance de ta fin et de l'impossibilité de notre futur ensemble. Adieu, boy. Que ma cicatrice se referme dans cette fin des mots.

Remarque du diable Part. 1 -Il fait plutôt moche aujourd'hui. J'aurai voulut quitter mon cloître pour te voir. Seulement ce n'est pas possible. Il y avait pleins de silence sur cette page. Je ne sais même plus quoi dire. J'ai reçu un appel en inconnu cette nuit. La nuit ou tu as de nouveau du crédit. Alors j'ai trouvé que c'était une drôle de coïncidence. Et ça m'a fait rire. Quel putain de boy lui. J'ai réfléchis longtemps ce week-end. Je ne sais pas où ça m'emmènera, mais ça m'emmènera. Je devrai changer de marque de cigarettes, ce serait mieux pour tout le monde. "Pour tout le monde" Ahah, non, le monde il s'en fout. Ce serait mieux simplement pour moi. Tout à l'heure, dans les mots de ta pute, je voyais qu'elle te considérai encore comme son homme, soit disant, j'ai trouvé ça mignon. Dans ces photos, j'ai vu une pict' d'un poster qui est dans sa chambre. C'est drôle car j'ai une photo d'elle, envoyé par "son homme" où on voit ce poster. Tu sais, le string avec le petit papillon? La question serait, mais que fais-tu avec une photo de cette fille, dans une position aussi intime? Et bien, il faut demander à "son homme". Si elle savait cette chère fille. J'en ai pas qu'une, des photos d'elle. Ca me fait bien rigoler toutes ces conneries.

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Quand je réécoute des chansons qui me faisaient pleurer avant, et bien ça ne fonctionne plus. Je me suis renforcé tu vois. Je suis devenu de pierre. Je suis incassable. Je ne suis plus celle qui avait le coeur comme un sucre. Je crois. J'espère. Je suis la Pandy qui est Lost mais pas trop. Tu vois je m'en vais là? Je te quitte. Pour tous l'amour que je t'ai donné. Pour toutes les larmes qui sont tombées depuis un ans. Un an de pur guerre. Pour tous tes doutes et tes meurtres dans mon coeur. Pour tes envies et les miennes. Pour les engueulades et les sanglots. Pour les "Je t'aime", mais moi non-plus. Pour que 5 minutes après tu redeviennes mon coeur, moi ton amour. Je te quitte. Pour tout ce bonheur qui tu m'as donné. Je te quitte. Pour cette fille qui tu as aimé et que tu n'aimes sûrement plus. Mais qui t'aime encore et tu l'as laisse le revendiquer. Ah! Je te quitte, mon amour. Pour toute la haine que j'ai ressenti pour toi. Ah! Et tu m'en voudras. Mais ce n'est plus important tu sais. Parce que nous sommes perdu. Et c'est drôle parce que je vois encore sur mes avant-bras mes traces d'amour de fille folle à lier. Ah et ces marques... Toutes ces marques, et bien je te l'ai dédis. A toi, boy. Je te quitte. Et pourtant, ah que je t'aimais. Petit boy qui deviendra un grand con. Ah, que je t'aimais...

C'est toujours un peu dur. Un peu dur. De se dire. Qu'un jour. Mais je me relève. Je me prépare. Ou pas. J'oublie. Je veux oublier. Je n'aime pas. Je n'aime plus. J'ai peur. J'en peux plus. J'ai dépéri. Dans l'amour. Et je m'atrophie. Les rêves ont disparut. Et les cauchemars aussi. On c'était dit pour toujours. Mais ce ne sont que des mots. Je suis désolée. Tu as décidé ça seul. Je n'ai fait que suivre tes choix. Il faut accepter le fait qu'à force de me jeter par terre, et bien je me suis cassé en plusieurs morceaux. Et ce sont des cicatrices qui ne disparaîtront jamais. Et pourtant, Ah, que je t'aimais...

Je ressens dans les deux inconnus de la maladresse et beaucoup de timidité pour enfin former ce qui doit être -ou pas- fait. Je sens beaucoup de gène. Beaucoup de maladresse. J'ai l'impression de patoger dans les mots et les remarques stupides. J'ai l'impression de faire des erreurs tout le temps. J'ai l'impression que ça n'ira pas. Je sens le recommencement. La souffrance. La tragédie. Toutes ses remarques sur le futur. Des choses impossibles à faire au présent, c'est à dire maintenant. Aujourd'hui. Tout de suite. Impossible. Encore un mur. Une impasse. Un besoin d'attendre. Comme ci je n'avais pas assez attendu pendant toute cette année. Comment puis-je savoir si alors je dois continuer ou m'en aller? Je doute et je ne sais plus.C'est très étrange tout ça. Très étrange et je sais pertinement que ça vient de moi. Je sais pourquoi tu réagis comme ça, étant donné que je suis la seule à avoir mis les choses de cette façon en route. Que c'est-il passé dans ma tête de façon à ce que je puisse réagir aussi diffirement, d'un jour à l'autre? Impossible de dénicher le déclic même de ce deroulement qui est plus ou moins très étrange. Alors, on tente ou pas?

Oh, kiss me
Lick your cigarette, then kiss me
Kiss me where your eye won't meet me
Meet me where your mind won't kiss me

Lick your eyes and mine and then hit me
Hit me with your eyes so sweetly
Oh, you know you know you know that yes I love
I mean I'd love to get to know you.

J'ai de nouveau mal à l'intérieur des côtes. Mes angoisses continuent. Ça peut pas recommencer. J'en ai plus le courage. Et j'ai peur.

_Il y aurait trop de choses à dire... Tu me manques. _"Reviens vite" ahem. Tu l'aimes, elle t'aime. Vous vous aimez. Happy ending. Je connais la vérité. Je l'ai toujours détestée. _J'ai pas fumé depuis hier. _Dis, tu m'aimes? Bon. Commence par "je". Allez! Donc, "je t'ai" allez allez! "je t'ai..me" voilà. Waouhou... _L'amour m'a fait faire bien des choses. Je ne regrette rien. J'étais heureuse en l'aimant. J'aimais ce qu'il était et ce qu'il m'a apporté me restera sûrement toujours. Mis à part ça, je compte bien régler tout ça. _Ta voix. Me manque. Trop. _Dès que je rentre, je prépare mon colis. _Promets moi que tu penseras à moi... _C'est comme quand j'ai cru que tu m'aimais pas. J'ai été déçue. Maintenant je sais ce que tout ça m'apportera. Je prends l'opportunité d'être heureuse.

That bitch ain't a part of me, no that bitch ain't a part of me I said no that bitch ain't a part of me, no that bitch ain't a part of me.

Je me suis levée. J'ai lu, mais toujours pas pleuré. Il fait noir dans ma chambre, les volets sont fermé. Je n'ose pas regarder le soleil tapant les toits, ni les arbres enveloppés par le vent doucement irrigé. Tout a été très rapide. J'aurai tellement aimé me donner à toi. Mais tu mérites mieux je te jure. Quoi que je suis, quoi que tu ressentes. Serai-ce alors le prix à payer d'un amour qui pourrait alors trop bien fonctionner? Je t'ai sauvé, néanmoins je te tue à nouveau. Je ne suis que l'héroïne fantôme de l'amant imparfait. J'allume une dernière cigarette à l'honneur de nos mots et de tout ce que j'ai aimé chez toi. A ta personne et ta folie. C'est vrai que tu es plus agé. Je trouvais ça pourtant bien attrayant. Peut-être nous retrouverons-nous un jour... Peut-être que ce sera au paradis. Et alors tu seras toujours mon ange à moi. Mon Paul et celui qui me sauve. Je serai alors Hell... Tu seras mon Paul. Et alors que le temps changera, je ne cesserai pas de penser à toi. Tu seras alors celui qui aura pu être dans ma vie, réelle. Mais qui ce sera en aller bien trop vite... Alors certes, je commence à accepter... Car c'est pour ton bien, et peut-être le mien. Tu es ma petite exeption à moi, ma petite perfection. Excuse moi de ces jolies mots, excuse moi de ces déclarations tristement mélancoliques. Et je dois me rétirer moi aussi. Je ne peux pas toujours être présente. Ton visage me reste dans les yeux. Ce regard et ce sourire. Et ta marinière. Tes lunettes et ta roulée. Je n'oublie rien. Alors je conclus que je dois partir aussi. Partir loin, et cette fois, sans toi.

Ca y est. C'est arrivé. Mes larmes coulent doucement le long de mes joues pâles. Ma george se sert m'empêchant de reprendre souffle. Je te perds. Les etincelles s'en vont pour le ciel. Et mon petit coeur a mal ici. Je me sens bette, si stupide. J'ai l'horrible impression d'être passé à côté de mon issus. Mais je l'ai ratée. Et maintenant je ne peux plus faire volte-face. Je suis passé à côté des jours de bonheur. J'aurai été ta petite chose... Je te promets des pensées chaques jours qui existera dans ma vie.

Les jolies choses.

Et je vois toute ces choses qui me dépassent lamentablement. Je suis une petite chose dans un monde de géant. Et je vois la vie passer. Les gens changer. Mes erreurs me rattrape. Et je vois mon caractère me faire perdre involontairement les personnes qui me tiennent à cœur. Et je n'en ai pas envie. Je pense à Jeoffrey et à son passé. Je pense à lui et il me manque beaucoup. Je fais mon maximum pour l'oublier, seulement c'est difficile de se dire au revoir. Même si on m'a souvent exposé les choses clairement. Et que je suis d'accord. Finalement je me suis habituée à être comme lui. À fuir. A être faible et lâche. Égoïste et dure. Rancunière et méchante. Mais les choses évoluent parfois. Je suis dans un filet. Dans l'éternelle incompréhension et malgré tout, je vis encore. Alors que je ne capte plus grand chose. Que je ne pense plus au futur. Que j'essaie de ne plus penser au passé, mais en vain cette essaie ne mène à rien. Alors j'ai le présent. Je me lève le matin. Je lis les articles écrits par ces personnes que j'aime plus, ou moins. Je tente d'en sortir le maximum de connaissance, ce qui ne me mène à pas grand chose. Ou alors j'éprouve de l'admiration, par fois des regrets, d'autres fois de la colère, de la haine, de la tristesse. De la mélancolie. Les choses ne se déroulent pas du tout comme je le veux. Mais j'avance, ou stagne. Sans réelle intention à présent. Sans envies particulières comme aller à Lyon, comme je l'avais désiré pendant tant de temps. Je n'ai plus envie de me retrouver dans ses bras. J'ai simplement envie de stagner dans mes simples habitudes. Rester avec A. Fumer un peu, boire un peu. Dormir un peu. Jouer à WoW. Monter, descendre, rêver un peu parfois. Cauchemarder. Parce que j'ai pas le choix. Et pour finir, attendre. Attendre, pour enfin retrouver l'envie d'avancer.