Et là, le blog, la phrase, les mots qui tuent.

16 juillet 2009

Et là, le blog, la phrase, les mots qui tuent.

Et là, le blog, la phrase, les mots qui tuent. Mais c'est même pas grave. Parce que je peux plus lui en vouloir. Même si elle l'aime toujours, qu'elle se permet de le dire, qu'elle se permet d'oser le dire alors qu'elle sait aussi bien que moi où elle se refuge. Une sorte de duel en soit. Une sorte de: Tu vois, il t'aime, c'est ce qu'il dit. Mais regarde baby, moi aussi. Et puis, on sait toutes les deux que c'est moi qu'il baise... Un truc comme ça en soit, un petit combat. Je n'sais pas.

Je me suis levée trop tôt ce matin, je fatigue, fatigue! J'irai me recoucher. Je pense à tout ça, ce qui c'est passé hier soir, et tu sais, j'ai une sorte de boule au ventre. Nous ne sommes pas des animaux, on doit se retenir bon dieu! Même si ça fait quand même du bien, et que ça me manquait à vrai dire. Ca faisait longtemps. Bref.

Tout ça me permet de prendre assez de recul pour enfin avoir la capacité de dire: Bon, bah... Je suis amoureuse, mais pas vraiment, mais assez pour bien me prendre la tête quand même donc... en soit énormément. Et à la fois bof quand même... Je l'insulte parfois, faut pas l'oublier... Soit. J'ai plus de clopes. C'est le bordel serieux.

Je déteste l'amour et ce que ça engendre en moi. Cette reminiscence des sens me rappele au combien je suis attachée et j'avoue que cela me pertube énormément dans ma vie. Genre, ça me prend tellement la tête que j'en crève sur place. Oui, sympa comme dirait l'autre. Bien sur, à certains instants, je dérive un peu. Je fais n'importe quoi, et ça passe. Je deviens la fille sur-conne, un peu folle et disjonct'. A la limite, ça peut être assez amusant. Mais lassant. A force. Je ne peux pas reculer toujours. Mais je ne peux pas non-plus être face à la vérité? Un vérité? Vraie? Hum. Qui sait? Mouais, qui?

Sinon... Juste parce.